#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Le transport maritime, l’un des secteurs les plus polluants, veut réduire son énorme empreinte carbone en ayant recours à des carburants alternatifs. Toutefois, il rechigne à limiter davantage sa vitesse, piste qui a pourtant prouvé son efficacité. “Le transport maritime va changer parce que nous devons faire face au changement climatique”, a assuré Edmund Hughes, membre de l’Organisation maritime internationale (OMI) lors d’une conférence organisée par cette instance issue de l’ONU les 17 et 18 octobre.Concrètement, le transport maritime représente 2,3% des émissions de CO2, selon l’organisation professionnelle Armateurs de France et 3% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, selon l’Institut supérieur d’économie maritime (Isemar). C’est plus que le transport aérien, pourtant bien plus critiqué.Une nouvelle règle en vigueur au 1er janvierEn cause, le fioul lourd, à forte teneur en oxydes de soufre et d’azote et en particules fines, qui propulse 60 000 à 90 000 navires, selon le tonnage – dont les gigantesques pétroliers ou porte-conteneurs – qui constituent la flotte commerciale mondiale. “Le transport maritime utilise le pire carburant au monde et c’est le dernier grand secteur à ne pas avoir été réglementé”, déplore Faig Abbasov, de l’ONG bruxelloise Transport et Environnement (T&E), interrogé par l’AFP.A compter du 1er janvier 2020, la limite de la teneur en souffre du fioul lourd sera abaissée de 3,5% à 0,5% en dehors des zones de contrôle des émissions (ECA) et maintenue à 0,1% dans les ECA, a annoncé l’OMI dans un communiqué. “Pour respecter cette règle, la plupart des navires devront faire la transition vers des fuel-oils à très faible teneur en soufre”, a précisé l’organisation.Click Here: cheap Cowboys jersey
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