Tourner une scène torride avec Leonardo DiCaprio ? Pas si excitant

Ames sensibles s’abstenir. Selon Margot Robbie, jeune partenaire de Leonardo DiCaprio dans le Loup de Wall Street, tourner une scène de sexe avec l’acteur n’aurait « rien de romantique ».

Attention, mythe en péril. Selon Margot Robbie, sa partenaire dans Le Loup de Wall Street (qui sort aux Etats-Unis et en France le 25 décembre), une scène de sexe avec Leonardo DiCaprio serait « la chose la moins romantique » qu’elle ait connue dans sa carrière. La magnifique blonde est en effet revenue dans le New York Post sur une des scènes pourtant torrides du dernier film de Martin Scorsese. « Nous devions encourager un chien à sauter sur le lit et à mordre les pieds de Leo… Du coup, il y avait des dresseurs au bout du lit, avec des friandises. On mettait du foie de poulet sur les orteils de Leo. Nous étions dans une petite chambre, il faisait chaud et ça sentait la nourriture pour chien », a résumé l’actrice australienne. Pour l’ambiance sensuelle, on repassera.

Heureusement, la jeune femme avoue garder un souvenir amusé de cette expérience: « c’était tellement n’importe quoi que le tout a fini par être assez comique ». Certains diront que, du haut de ses 23 ans, Margot Robbie a encore le temps de trouver bien pire partenaire que le beau Leo dans cette catégorie peu glorieuse des amants de cinéma à fuir.
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C’est dans ce contexte de petites révélations peu amènes que l’acteur et Martin Scorsese ont d’ailleurs rendu visite à Barack Obama, ce mercredi, pour une projection privée à la Maison Blanche. Malheureusement – ou heureusement – le point de vue du président américain sur les scènes de sexe du film n’a pas fuité.
Le Loup de Wall Street raconte l’histoire d’un courtier en bourse à New York. Un doux mélange fait d’excès, de drogues, d’argent, de pouvoir et de femmes. Interviewé par Gala cette semaine, l’ex de Gisele Bündchen confie que son personnage représente assez bien la société actuelle: « nous vivons à une époque où le plus n’est jamais assez, où l’opportunisme et la cupidité se généralisent. Reste à savoir si nous, homo sapiens, sommes capables de transcender cet individualisme forcené et de vivre dans l’harmonie sans spolier les autres ». Une belle réflexion pleine de maturité pour celui qui va bientôt fêter ses 40 ans.